Toutefois, en point de presse d'après-match, Martin St-Louis a mentionné que le temps de jeu de ce dernier avait grandement été affecté par les unités spéciales. Ne faisant pas partie de l'avantage numérique ni du désavantage numérique, il est normal que son temps de jeu soit influencé par cet aspect.
L'entraîneur-chef a tenu toutefois à préciser qu'il avait bien aimé le match du numéro 20 et qu'il allait remédier à la situation dans les prochaines rencontres pour en donner plus à l'attaquant de 18 ans.
À l'instar de Slafkovsky, Shane Wright faisait également ses débuts professionnels hier, alors que le Kraken de Seattle a subi la défaite en temps supplémentaire contre les Duck d'Anaheim.
Ce qui a retenu l'attention, c'est que la recrue n'était tout simplement pas dans les plans d'utilisation de son entraîneur, alors que ce dernier l'a fait jouer seulement 6 minutes 14 secondes.
Si le temps de jeu de Slaf n'était pas élevé, imaginer presque la moitié de moins.
Disons que si le Kraken veut réellement donner une chance à Wright de se faire valoir, ce n'est certainement pas en l'utilisant de cette manière qu'il pourra bien se développer dans la LNH. Rendu là, un retour dans la OHL serait bien plus bénéfique que de le laisser piloter le quatrième trio de la formation.
Crédit : Fanadiens