La gestion du cap salarial sera différente cette saison et ça devrait grandement aider les Canadiens de Montréal
Aux prises avec de nombreuses blessures la saison dernière, l'organisation des Canadiens de Montréal a dû faire des pieds et des mains pour respecter le plafond salarial. Vous vous souvenez des innombrables passages de Paul Byron au ballotrage, c'était entre autres pour sauver de l'argent et gagner de l'espace comptable pour se conformer aux limites imposées par la ligue.
Cette saison, ça pourrait être plus facile pour le CH en raison d'une petite subtilité soulevée par l'équipe du site PuckPedia.com :
« Cette saison aura 185 jours à des fins de cap salarial. La saison dernière avait 200 jours en raison de la pause olympique.
Moins de jours signifie que chaque jour vaut plus, et par conséquent, un espace de plafond accumulé par jour vaut plus.
Cela signifie également que l'espace accumulé offre moins d'avantages à la date limite. »
Moins de jours signifie que chaque jour vaut plus, et par conséquent, un espace de plafond accumulé par jour vaut plus.
Cela signifie également que l'espace accumulé offre moins d'avantages à la date limite. »
Pour les Canadiens, c'est une bonne nouvelle puisque des joueurs comme Jonathan Drouin, Paul Byron et Sean Monahan pourraient bien débuter la saison en étant placés sur la liste des blessés à long terme. Ainsi, chacune de leur journée d'absence permettra d'économiser encore plus d'argent.
« Une équipe avec 1 million de dollars en espace de plafond projeté peut ajouter 4,5 millions de dollars en plafond annuel à la date limite cette année contre 5 millions de dollars à la date limite l'année dernière.
1 jour d'espace de plafond de 1 million de dollars cette année permet d'économiser 5 405 $ en plafond final contre 5 000 $ l'année dernière. »
1 jour d'espace de plafond de 1 million de dollars cette année permet d'économiser 5 405 $ en plafond final contre 5 000 $ l'année dernière. »
Pour le CH, avoir plus d'espace est particulièrement intéressant en vue de la prochaine date limite des échanges, où Kent Hughes pourrait s'offrir comme partenaire de danse aux autres directeurs généraux pour accueillir de mauvais contrats en obtenant un bonbon en supplément comme des espoirs ou des choix.
Crédit : Habs et LNH
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