La transparence de Kent Hughes depuis qu'il est en poste fait vraiment mal paraître Marc Bergevin
Lors de chacun des points de presse, nous avons l'impression d'avoir accès à un livre ouvert sur la gestion des Canadiens de Montréal avec Kent Hughes. Bien sûr, il ne dira jamais qu'il a une discussion à propos d'un joueur X d'une autre équipe, mais il dévoile son plan au maximum possible.
Un bel exemple, c'est l'échange de Jeff Petry. Combien de fois il a mentionné qu'il tentait d'accommoder son joueur, mais qu'il ne voulait pas conserver du salaire ou payer avec un espoir ou un choix pour le sortir de Montréal. Résultat des courses : Petry a quitté pour Pittsburgh accompagné de Ryan Poehling en échange de Michael Matheson.
Même chose pour la situation de Carey Price, pour l'acquisition de Kirby Dach, l'échange d'Artturi Lehkonen, celle de Ben Chiarot, le départ de Tyler Toffoli, etc. Les exemples sont nombreux et parlent d'eux-mêmes.
C'est tout un contraste avec son prédécesseur qui était aussi hermétique que possible.
Pire, Marc Bergevin a été pris en flagrant délit de mensonge sur ce qu'il était en voie de faire et nous avons mis la main sur une image qui en illustre parfaitement quatre exemples :
Dans le cas de Subban, on parle d'à peine quelques heures entre le moment où il a fait sa déclaration et la transaction ayant amené Shea Weber à Montréal.
Pas étonnant que le public est devenu méfiant envers ses glorieux!
