En tant que négociateur pour les transactions, Bergevin s'est avéré très compétent, réussissant majoritairement ses transactions lors de son mandat au sein du Tricolore. Son seul accroc notable a été l'échange de Mikhail Sergachev à Tampa Bay en retour de Jonathan Drouin.
Cependant, lorsqu'il s'agit des signatures de contrats, Bergevin a été misérable. Dom Luszczyszyn de The Athletic a récemment démontré à quel point les contrats signés sous sa direction ont été désastreux.
Une image présentant le rendement de chaque contrat actuellement en vigueur dans l'organisation montre que toutes les ententes signées par Bergevin, qui sont encore en vigueur aujourd'hui, ont une valeur très négative en termes de production.
Les quatre pires contrats de l'équipe, Brendan Gallagher, Josh Anderson, Mike Hoffman et Joel Armia, ont tous été octroyés par Bergevin. En revanche, tous les contrats signés par Kent Hughes depuis son arrivée à Montréal, à l'exception de celui de Rem Pitlick, affichent un rendement positif par rapport à leur salaire.
Grâce à l'excellent travail de Hughes, le Tricolore est maintenant classé au 26e rang de la ligue en termes de contrats, une amélioration significative par rapport à la 32e position de l'année précédente sous la direction de Bergevin.
Le plus préoccupant est que cette liste de mauvais contrats signés par l'ancien DG du CH au cours de sa carrière ne s'arrête pas là.
Voici une liste des contrats qui ont mal vieilli également :
Les seuls bons coups de Bergevin furent ceux de Brendan Gallagher en 2014 (6 ans x 3,75 M$), Carey Price en 2012 (6 ans x 6,5 M$), Max Pacioretty en 2012 (6 ans x 4,5 M$) et ajoutons également Tyler Toffoli en 2020 (4 ans x 4,25 M$).
Crédit : The Athletic
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