Jonathan Quick a commis un geste répréhensible sur Juraj Slafkovsky qui est demeuré impuni
Le Canadien de Montréal a offert tout un spectacle hier soir contre les Rangers de New York, dans un match rempli de rebondissements qui s'est terminé en prolongation sur un but de Patrik Laine.
Ce fut une performance pleine de caractère pour le Tricolore, qui a réussi à égaliser la marque à quatre reprises au cours de la rencontre.
Malgré leur ténacité, les Rangers ont pu compter sur un Jonathan Quick qui a été fumant, multipliant les arrêts spectaculaires pour garder son équipe dans le match.
Le Canadien, mené par un trio inspiré de Nick Suzuki, a dominé offensivement, mais les prouesses du vétéran gardien ont frustré plusieurs tentatives nettes.
Juraj Slafkovsky s'est fait littéralement volé par Jonathan Quick
Une séquence particulière a cependant retenu l'attention : dans une mêlée devant son filet, Quick a saisi le bâton de Juraj Slafkovsky pour continuer à défendre sa cage.
Une action inhabituelle et illégale qui aurait dû être sanctionnée par une pénalité, mais les officiels n'ont pas réagi.
Cette décision a provoqué des débats, d'autant plus qu'elle aurait pu donner au Canadien un avantage numérique précieux dans un moment critique.
Slafkovsky, privé de son bâton, n'a pas pu contribuer pleinement à la séquence, ce qui a sans doute facilité le travail de Quick.
Malgré cet incident controversé, le Tricolore a su garder son sang-froid et a fini par obtenir une victoire cruciale en prolongation. Ces deux points récoltés renforcent leur position dans la lutte acharnée pour une place en séries éliminatoires.
Cependant, l'arbitrage de ce match soulève encore des questions.
