Martin St-Louis a confirmé une excellente nouvelle pour les fans du Canadien après la victoire à Dallas
Une autre belle victoire pour le Canadien de Montréal, cette fois sur la glace des Stars de Dallas, une équipe redoutable qui avait gagné 9 de ses 11 derniers matchs.
Avec ce triomphe de 3 à 1, le Tricolore démontre encore une fois qu'il peut rivaliser avec les meilleures formations de la ligue.
Le gardien Jakub Dobes a une fois de plus été un élément clé dans ce succès, offrant une performance remarquable devant son filet.
Avec cette série de victoires impressionnantes, les Canadiens continuent de surprendre et de raviver l'espoir d'une participation aux séries éliminatoires. Bien que la route soit encore longue, les partisans ont de quoi rêver.
Martin St-Louis : le symbole de la séquence victorieuse
Depuis le retour du congé des fêtes, un détail chez Martin St-Louis a capté l'attention : sa nouvelle barbe grisonnante.
Coïncidence ou non, cette barbe semble porter chance, puisque le Canadien a accumulé les victoires depuis son apparition.
Tout a commencé lors des matchs contre les Panthers et le Lightning, où le Tricolore a signé deux victoires consécutives. Rapidement, les partisans ont commencé à associer cette barbe à la récente réussite de l'équipe.
Interrogé à ce sujet après la victoire contre Dallas, St-Louis a répondu avec humour :
Ce clin d'oeil à la superstition a bien fait rire les journalistes présents.
Cette fameuse barbe est rapidement devenue un symbole de ralliement pour les fans du Canadien, qui souhaitent la voir perdurer aussi longtemps que la séquence de succès se poursuit.
Certains joueurs ont même plaisanté à ce sujet, affirmant qu'ils espèrent que leur entraîneur la garde jusqu'à la fin de la saison.
Pour l'instant, la magie semble opérer, et les Canadiens continuent de prouver qu'ils peuvent tenir tête aux meilleures équipes. Qu'il s'agisse de superstition ou de simple hasard, les résultats parlent d'eux-mêmes.
St-Louis confirme donc qu'elle n'est pas près de partir, et c'est tout ce qu'on voulait entendre.
