D'abord, l'affaire impliquant Shane Pinto, qui s'est soldée par une suspension de 41 matchs en raison de paris sportifs. Hier, une nouvelle a frappé l'équipe, puisque la LNH a infligé une sévère sanction aux Sénateurs en raison du fiasco de la transaction avortée d'Evgenii Dadonov. Les dirigeants de la ligue ont décidé que l'équipe devra renoncer à un choix de première ronde lors d'une des prochaines séances de repêchage, compris entre 2024 et 2026.
Il est important de noter que ce n'est pas la première fois que la LNH sanctionne une équipe en lui retirant un choix de première ronde. Il convient de rappeler le cas des Coyotes de l'Arizona en 2020, qui ont vu deux de leurs choix de première et deuxième ronde annulés pour avoir enfreint les règles de recrutement de la LNH.
En réaction à ces sanctions, un débat a éclaté sur les réseaux sociaux. Plusieurs observateurs estiment qu'il y a un traitement inégal dans les punitions infligées par le commissaire Gary Bettman. Ils font référence à l'affaire de Kyle Beach et des Blackhawks de Chicago en 2021, qui n'a entraîné qu'une amende de 2 millions de dollars pour avoir dissimulé un scandale sexuel en interne.
Cette somme paraît minime pour des milliardaires, en particulier pour une franchise aussi riche que les Blackhawks, ce qui suscite des critiques, car elle ne semble pas être à la hauteur de la gravité des actes commis par l'organisation.
Dans l'histoire récente de la ligue, certaines équipes ont été pénalisées pour des comportements répréhensibles, bien que moins graves que ceux de Chicago. Cette disparité de traitement n'a pas échappé à l'attention des partisans, d'autant plus qu'ils estiment que les Blackhawks ont ainsi acquis Connor Bedard, considéré comme la prochaine grande étoile de la LNH, alors qu'ils auraient dû perdre leur choix.
Crédit: Go Nordiques
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