Cette décision a surpris de nombreux fans, d'autant plus que les nouvelles combinaisons ont suscité des interrogations. Suzuki a été aligné avec Alex Newhook et Josh Anderson, tandis que Caufield a été jumelé à Christian Dvorak et Juraj Slakovsky.
Malgré le fait que Dvorak ne soit pas connu pour sa production offensive, la ligne a surpris agréablement en créant plusieurs occasions de marquer, même lors de leur première collaboration.
Grant McCagg, l'ancien dépisteur du Tricolore, souligne une possible chimie émergente entre Caufield et Slafkovsky, se montrant satisfait de les voir continuer à jouer ensemble. Il suggère également que la présence d'un créateur de jeu comme Suzuki avec Newhook et Anderson pourrait stimuler leur performance.
Martin St-Louis a commenté la séparation de Suzuki et Caufield, laissant entendre que cela pourrait être bénéfique, laissant entrevoir la possibilité de réitérer cette expérience lors des prochains matchs.
L'entraîneur-chef a également pris le risque de remanier son top 6 tout en conservant intacte sa troisième unité composée de Sean Monahan, Brendan Gallagher et Tanner Pearson. Cependant, cette combinaison a montré des signes de moins bonne performance récemment, suggérant qu'il est peut-être temps de placer Monahan, actuellement le deuxième meilleur buteur de l'équipe, sur un trio plus offensif.
En envisageant une séparation à plus long terme des deux attaquants vedettes, Monahan apparaît comme un choix idéal en tant que centre pour Caufield et Slaf. De plus, il est peut-être temps pour Anderson, qui n'a fourni qu'une assistance en 13 matchs, de céder sa place dans les deux premiers trios, ce qui est jugé inacceptable.
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