Pour Petry, il le met dans le même panier que John Klingberg et Jakob Chychrun, soit des défenseurs offensifs avec des lacunes importantes et une saison plus difficile. C'est l'astérisque qu'on lit depuis longtemps sur ces trois candidats, il n'y a donc pas de surprise de ce côté.
C'est pour Ben Chiarot que nous sommes tombés en bas de notre chaise. Le journaliste n'y va pas de main morte sur lui et il le classe comme un joueur à éviter.
Ce sont des mots très durs à l'endroit du défenseur de 30 ans. Mais Luszczyszyn en rajoute en disant ne pas comprendre pourquoi des rumeurs parle d'un prix au-delà d'un unique premier choix pour lui. Il avance que les trois raisons principales expliquant l'intérêt des équipes pour lui sont son gabarit, qu'il joue 23 minutes par match et qu'il donne des coups de bâton à tout ce qui passe dans un rayon de 10' autour de lui. Mais être gros et méchant, ça ne veut pas dire être bon. Il poursuit en disant qu'on peut tracer une ligne directe entre le fait que les Canadiens sont l'une des pires équipes de la ligue et le fait que Chiarot est le défenseur le plus utilisé de l'équipe.
Ce n'est pas terminé!
Le journaliste avance que toutes les mesures d'impact disponibles soutiennent que l'Ontarien est un joueur à l'impact négatif sur son équipe et qu'il n'y a pas une formation qui serait meilleure avec lui dans ses rangs.
Outch!
Admettons que nous achetons tout ce qu'avance Luszczyszyn, espérons qu'il y aura quand même une formation qui tombera dans le panneau et offrira la lune pour lui. Où sont Peter Chiarelli et Mike Milbury quand on n'en a besoin?
Crédit: The Athletic