Alors que la date limite des échanges du 7 mars approche à grands pas, le dossier du joueur de centre de 28 ans occupe une place de choix sur le bureau du directeur général.
Evans, qui est sur le point de devenir joueur autonome, réalise la meilleure saison de sa carrière. Sa production impressionnante a considérablement augmenté ses prétentions salariales en vue de son prochain contrat, tout en faisant grimper sa valeur sur le marché des transactions.
Le défi pour Hughes est clair : doit-il prolonger le contrat d'Evans ou l'échanger pour maximiser le rendement à court et long terme de l'équipe?
Selon Elliotte Friedman, une discussion entre le Canadien et le clan d'Evans serait imminente. Les deux parties semblent motivées à trouver un terrain d'entente, ce qui pourrait aboutir à une prolongation dans les semaines à venir.
Marco D'Amico a même rapporté que les négociations qui décideraient de l'avenir d'Evans à Montréal pourraient débuter dans les prochains jours.
Cependant, rien n'est encore joué. Si les demandes d'Evans dépassent ce que Hughes considère raisonnable pour le futur de l'organisation, une transaction pourrait devenir la seule option viable.
Si une prolongation avantageuse pour les deux parties est impossible, le Canadien pourrait se tourner vers le marché pour échanger le joueur avant qu'il ne devienne agent libre sans compensation.
Le choix de septième ronde du repêchage de 2014 a prouvé qu'il peut être un atout important pour l'équipe grâce à son jeu polyvalent et à sa fiabilité défensive.
Toutefois, le Tricolore est en pleine reconstruction, et chaque décision doit être alignée avec les ambitions à long terme de l'organisation.
Pour Hughes, la priorité est claire : protéger les intérêts de l'équipe tout en respectant la contribution d'un joueur qui a grandi au sein de l'organisation.
Les prochaines semaines seront décisives, et les partisans suivront de près l'évolution de ce dossier clé.