Son attitude a été déplorable, c'est le moins qu'on puisse dire. De nouvelles informations ont fait surface qui indiqueraient que le plus gros problème de Wright est son attitude. Ce qui est tout le contraire de Slafkovsky, qui a été en plein contrôle de ses émotions tout le long du processus.
Selon Elliotte Friedman et Chris Peters, le problème ne serait pas seulement l'attitude, mais aussi son éthique de travail. Au Combine, plusieurs équipes auraient été déçues de son manque de passion. Elles auraient également critiqué le fait que Wright n'ait pas été poursuivre son développement en Europe pendant la pandémie.
Bien qu'on ne saura que dans quelques années quel joueur repêché en 2022 aurait dû être sélectionné au premier rang, ces indices laissent croire que le CH aurait pris la bonne décision avec Slafkovsky.