Avec un impressionnant bilan de 10-2-1 depuis cet échange, le Tricolore s'est hissé parmi les formations les plus performantes de la LNH. Ce changement de cap ne semble pas être un simple hasard, et l'impact de Carrier dans cette transformation est indéniable.
Son intégration rapide et son apport autant défensif qu'offensif ont été tels que plusieurs équipes du circuit Bettman auraient souhaité avoir une chance de conclure ce « deal ».
Selon Elliotte Friedman, de nombreuses organisations ont exprimé leur étonnement face à cet échange réalisé par Hughes.
D'après les propos de Friedman, l'acquisition d'Alexandre Carrier pour un coût aussi modeste, seulement Justin Barron en retour, a surpris plus d'un dirigeant de la ligue.
Alexandre Carrier : Des équipes s'en veulent de ne pas avoir fait la transaction
Barron, bien qu'ayant montré du potentiel, peinait à s'imposer comme un élément clé à Montréal malgré les nombreuses opportunités qui lui avaient été offertes.
Il semble que le directeur général des Predators, Barry Trotz, n'a pas anticipé l'ampleur de l'effet Carrier à Montréal.
Si d'autres équipes avaient eu vent de la disponibilité de Carrier à ce prix, il est fort probable qu'une guerre d'enchères aurait éclaté, augmentant considérablement la valeur de l'échange.
Cependant, Hughes a su agir rapidement et avec finesse, renforçant la brigade défensive du Canadien sans compromettre l'avenir à long terme de l'équipe.
Carrier, avec son jeu intelligent et sa capacité à stabiliser la défensive, s'est immédiatement imposé comme un pilier.
Aujourd'hui, il ne fait aucun doute que le Canadien est le grand gagnant de cette transaction. Non seulement Carrier a apporté de la stabilité à la défensive, mais il a également insufflé une nouvelle confiance au reste de l'équipe.