L'attaquant deviendra agent libre le 1er juillet, ouvrant la porte à une opportunité pour le Canadien de Montréal et son directeur général, Kent Hughes.
Dans sa quête pour renforcer l'attaque de l'équipe, Kent Hughes pourrait voir en Skinner une option intéressante. Bien que son contrat à 9 millions de dollars par saison ait été un fardeau pour les Sabres, son talent sur la glace reste indéniable.
Cette saison, Skinner a marqué 24 buts et accumulé 46 points en 74 matchs. Certes, ce n'est pas suffisant pour un joueur de son calibre et de son salaire, mais ses performances passées parlent d'elles-mêmes. La saison dernière, il a totalisé 35 buts et 82 points en 79 matchs, démontrant qu'il peut encore être une menace offensive redoutable.
Avec six saisons de plus de 30 buts, dont une de 40 en 2019, Skinner a prouvé qu'il sait trouver le fond du filet. Pour le Canadien, l'ajouter à l'équipe à un salaire plus raisonnable pourrait être une aubaine. Un contrat autour de 4 à 4,5 millions de dollars par saison pour deux ou trois ans serait une excellente affaire, apportant une contribution immédiate tout en laissant le temps à la relève de se développer.
À 32 ans, Skinner a inscrit 357 buts et 670 points en 1006 matchs dans la LNH. Sa présence apporterait de l'expérience et du punch offensif au Canadien, comblant ainsi un besoin crucial.
Pour Kent Hughes, signer Skinner à un prix raisonnable serait une manoeuvre stratégique astucieuse, offrant une injection de talent sans trop compromettre la flexibilité financière de l'équipe.
